Cet "Antiquaire" est une fiction. Mais c'est aussi une réflexion sur l'un des plus grands scandales français des soixante-quinze dernières années: la spoliation des collectionneurs juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. (...) Eh bien, voyez "L'Antiquaire".
Le Point - Bernard-Henri Lévy
(...) François Margolin signe un film habile et touchant, délesté de tout pathos et ponctué de touches d’humour subtiles.
Le Journal du Dimanche - Emma Martin
Anna Sigalevitch est Esther qui enquête sur la disparition des tableaux de ses grands-parents juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Si elle plonge dans la mémoire enfouie (...) c'est avec un sens du décalage qui donne au film une profondeur et une vérité oniriques.
Elle - Anne Diatkine
"L'Antiquaire" est donc un film à thèse au sens le plus noble du terme : une oeuvre modeste dont le prétexte historique sert uniquement à mettre en lumière, sans la moindre volonté d'enrobage, ce tabou français dont aucun fantôme n'est jamais venu à bout
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Le Nouvelle Observateur - Vincent Malausa